Mardi le 16 janvier
Un matin de découverte à pied, j’élargit ma zone… et je réussis à ne pas me perdre. Je crois que je commence à comprendre mon quartier.
Mon aventure de la journée : je suis allée dîner toute seule au resto. Ouf. D’abord je n’ai pas choisi le bon resto (je m’en rends compte une fois assise) : c’est un resto de fondue chinoise, tout le monde est en groupe d’au moins quatre… Oups. Trop tard, je suis là. Les employés ne parlent pas plus de deux mots d’anglais et ils semblent pas mal plus stressés que moi. Je leur montre des signes chinois dans mon guide pour commander (le menu est en chinois seulement). Riz sauté/ bœuf/ thé. Ils ont l’air d’avoir compris. La serveuse arrive quelques minutes plus tard avec une assiette avec quelque chose qui ressemble à huit boulettes de steak haché dans de la sauce brune au poivre, avec un couteau et une fourchette… Je vois, je suis une blanche alors on m’amène un plat «occidental». C’est pas mangeable, je me force à manger une boulette. Par chance mon riz arrive et lui est bon, mais c’est une montagne. Les portions dans les restos sont énormes, je ne comprends pas comment les chinoises font pour être si menues. On m’amène des morceaux de melon d’eau (la plupart des restos font ça), je paye et je quitte. La plupart des tables étaient arrivées avant moi et commençaient à peine l’entrée. Faudrait que je commence à différencier les fast-foods des autres…
L’assistante de Zhang Da et Gugu est passé me chercher vers quatre heures. Elle ne parle pas beaucoup l’anglais, alors on s’est entendues que je lui apprendrais l’anglais alors qu’elle m’apprendrait le chinois. Elle est étudiante à l’Université et a mon âge, très sympathique. Elle est allée m’abonner à l’Internet chez China Telecom, et ça a eu l’air tellement compliqué… On est allées pour me trouver une carte de métro ensuite (ça ne fonctionne pas comme ici, c’est une carte électronique sur laquelle tu déposes de l’argent et quand tu passes les tourniquets, retire ce que ça coûte selon la distance faite) mais il n’en restait plus. Il pleuvait beaucoup et c’était l’heure de pointe alors on grelottait sous son parapluie, on arrivait pas à trouver de taxis (tous plein). Malgré tout on a beaucoup rit. On est allées manger une soupe aux nouilles et au bœuf épicée qui était vraiment bonne, je lui ai fait écrire le nom du plat en chinois sur un papier pour pouvoir recommander la même si j’y retourne.
Et le dernier arrêt c’était le studio de Zhang Da, que je n’avais pas vu encore. Au 19e étage d’un building pas très loin de chez moi (une dizaine de minutes à pied), c’est joli et assez grand. Il m’a montré toutes les photos de ses collections passées et m’a expliqué sa vision de l’entreprise. Gugu est venue nous rejoindre et on a discuté de ce que seront mes tâches, pour lui comme pour elle. Je vais travailler pour les deux (ils font de la consultation ensemble, un petit bureau de style si on veut, et lui en plus tient sa collection). Du patron, de la recherche, faire le design d’une ligne d’accessoires, du cool-hunting… J’ai hâte de commencer.
Mon aventure de la journée : je suis allée dîner toute seule au resto. Ouf. D’abord je n’ai pas choisi le bon resto (je m’en rends compte une fois assise) : c’est un resto de fondue chinoise, tout le monde est en groupe d’au moins quatre… Oups. Trop tard, je suis là. Les employés ne parlent pas plus de deux mots d’anglais et ils semblent pas mal plus stressés que moi. Je leur montre des signes chinois dans mon guide pour commander (le menu est en chinois seulement). Riz sauté/ bœuf/ thé. Ils ont l’air d’avoir compris. La serveuse arrive quelques minutes plus tard avec une assiette avec quelque chose qui ressemble à huit boulettes de steak haché dans de la sauce brune au poivre, avec un couteau et une fourchette… Je vois, je suis une blanche alors on m’amène un plat «occidental». C’est pas mangeable, je me force à manger une boulette. Par chance mon riz arrive et lui est bon, mais c’est une montagne. Les portions dans les restos sont énormes, je ne comprends pas comment les chinoises font pour être si menues. On m’amène des morceaux de melon d’eau (la plupart des restos font ça), je paye et je quitte. La plupart des tables étaient arrivées avant moi et commençaient à peine l’entrée. Faudrait que je commence à différencier les fast-foods des autres…
L’assistante de Zhang Da et Gugu est passé me chercher vers quatre heures. Elle ne parle pas beaucoup l’anglais, alors on s’est entendues que je lui apprendrais l’anglais alors qu’elle m’apprendrait le chinois. Elle est étudiante à l’Université et a mon âge, très sympathique. Elle est allée m’abonner à l’Internet chez China Telecom, et ça a eu l’air tellement compliqué… On est allées pour me trouver une carte de métro ensuite (ça ne fonctionne pas comme ici, c’est une carte électronique sur laquelle tu déposes de l’argent et quand tu passes les tourniquets, retire ce que ça coûte selon la distance faite) mais il n’en restait plus. Il pleuvait beaucoup et c’était l’heure de pointe alors on grelottait sous son parapluie, on arrivait pas à trouver de taxis (tous plein). Malgré tout on a beaucoup rit. On est allées manger une soupe aux nouilles et au bœuf épicée qui était vraiment bonne, je lui ai fait écrire le nom du plat en chinois sur un papier pour pouvoir recommander la même si j’y retourne.
Et le dernier arrêt c’était le studio de Zhang Da, que je n’avais pas vu encore. Au 19e étage d’un building pas très loin de chez moi (une dizaine de minutes à pied), c’est joli et assez grand. Il m’a montré toutes les photos de ses collections passées et m’a expliqué sa vision de l’entreprise. Gugu est venue nous rejoindre et on a discuté de ce que seront mes tâches, pour lui comme pour elle. Je vais travailler pour les deux (ils font de la consultation ensemble, un petit bureau de style si on veut, et lui en plus tient sa collection). Du patron, de la recherche, faire le design d’une ligne d’accessoires, du cool-hunting… J’ai hâte de commencer.
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